rebelles houthis au yémen

Grand allié de Washington dans le Golfe, l’Arabie saoudite a, elle, déjà classé les houthistes comme groupe « terroriste » en 2014, avant de prendre la tête en mars 2015 d’une coalition appuyant le gouvernement yéménite contre les rebelles. Les organisations humanitaires actives au Yémen craignent que la décision du gouvernement américain de désigner les rebelles houthis comme un … Le gouvernement yéménite, lui, s’est félicité de la décision américaine, affirmant dans un communiqué que les rebelles le « méritaient (…) non seulement pour leurs actes terroristes, mais aussi pour leurs efforts permanents pour prolonger le conflit ». Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ? Votre avis sur nos contenus nous intéresse. Le chef de la diplomatie américaine, Mike Pompeo, a expliqué qu’il notifierait le Congrès de cette décision, afin de renforcer la « dissuasion contre les activités néfastes du régime iranien », soutien du groupe rebelle yéménite face au gouvernement appuyé par une coalition menée par l’Arabie saoudite, alliée de Washington. Des sanctions contre les rebelles Houthis entreront en vigueur le 19 janvier, © Crédit photo : MOHAMMED HUWAIS AFP or licensors, Dordogne : un gilet jaune bientôt jugé pour injures au président de la République. Selon ces organisations, cette décision risque de provoquer une paralysie de l’acheminement de l’aide humanitaire au Yémen. Plusieurs organisations non gouvernementales et institutions internationales redoutaient que le président Trump, battu dans les urnes, ne cherche à frapper un grand coup diplomatique contre l’Iran, son ennemi juré au Moyen-Orient, avant l’arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui souhaite renouer le dialogue avec Téhéran. A dix jours de la fin de son mandat, le gouvernement américain de Donald Trump a annoncé, dimanche 10 janvier dans la soirée, qu’il allait inscrire les rebelles houthistes du Yémen sur sa liste noire des groupes « terroristes ». Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette). L’administration de Donald Trump a qualifié les rebelles Houthis au Yémen de "terroristes". En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. Des sanctions entreront en vigueur en pleine crise humanitaire, la veille de l’entrée en fonctions du nouveau président Joe Biden. Trois chefs des Houthis sont également inscrits sur liste noire, dont … Pour l’ONG Save the Children, des milliers d’enfants seront exposés davantage au risque de famine et de maladie. Le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a expliqué qu’il notifierait le Congrès de cette décision afin de renforcer la "dissuasion contre les activités néfastes du régime iranien", soutien du groupe rebelle yéménite face au gouvernement appuyé par une coalition menée par l’Arabie saoudite alliée de Washington. Les rebelles, classés « terroristes », s’en prennent à l’administration Trump. L’aide internationale se réduit pour le Yémen, qui s’enfonce dans la crise sanitaire, Les meilleures coques pour iPhone X, XR, et Xs, Smartphones : nos guides les plus populaires, Yves Rocher : -50% sur une sélection d'articles, Europcar : -15% sur votre location de voiture, Nike : jusqu'à -50% sur les articles en promotion, les meilleures gourdes réutilisables pour enfant. Venus du Nord du Yémen, ces rebelles défendent, depuis les années 1980, les droits de la minorité zaïdite (42 % de la population), un rameau de l'islam chiite. Classés "groupe terroriste" par les Etats-Unis, les rebelles Houthis au Yémen s'en sont pris lundi à l'administration sortante de Donald Trump dont la décision fait craindre aux organisations internationales une aggravation de la crise humanitaire dans le pays en guerre. C’est un incroyable renversement de situation. « Nous condamnons cet acte et nous nous réservons le droit d’y répondre », a déclaré sur Twitter un responsable rebelle, Mohamed Ali Al-Houthi. Classés "groupe terroriste" par les Etats-Unis, les rebelles Houthis au Yémen s'en sont pris lundi à l'administration sortante de Donald Trump dont la décision fait craindre aux organisations internationales une aggravation de la crise humanitaire dans le pays en guerre. a déploré l’organisation dans un communiqué. Le contenu de ce site est le fruit du travail de 500 journalistes qui vous apportent chaque jour une information de qualité, fiable, complète, et des services en ligne innovants. ... arme et conseille les rebelles Houthis. A l’inverse, l’Iran a condamné cette décision, jugeant que la liste noire est « un processus qui a perdu sa crédibilité ». Les rebelles houthis, ... La guerre au Yémen oppose les forces houthis-Saleh au camp pro-gouvernemental, regroupé dans le sud et qui est soutenu par une coalition dirigée par l'Arabie saoudite. Le groupe est issu du Forum des jeunes croyants, organisation religieuse et culturelle co-fondée en 1992 par Hussein Badr… Des sanctions entreront en vigueur en pleine crise humanitaire, la … Secretary of State Mike Pompeo says U.S. will designate the Iran-backed Houthi rebels in Yemen as a terrorist organization. Les rebelles Houthis sont combattus par le royaume, au Yémen, depuis 2015: il est à la tête d'une coalition militaire en soutien au gouvernement reconnu par la communauté internationale. Ces sanctions visent à tenir les houthistes, qui contrôlent la capitale Sanaa et la majorité du nord du Yémen, « pour responsables de leurs actes terroristes, notamment pour les attaques transfrontalières menaçant les populations civiles, les infrastructures et le transport maritime », a déclaré Mike Pompeo dans un communiqué publié dans la nuit. Après plus de cinq ans de guerre, le Yémen, pays le plus pauvre de la péninsule arabique où 80 % de la population dépend, désormais, de l’aide internationale, est déjà en proie à ce que l’ONU a qualifié de pire crise humanitaire au monde. L’administration de Donald Trump a qualifié les rebelles Houthis au Yémen de "terroristes". Vous avez choisi de refuser le dépôt de cookies lors de votre navigation sur notre site, notamment des cookies de publicité personnalisée. Le gouvernement américain de Donald Trump a annoncé dimanche soir, à dix jours de la fin de son mandat, qu’il allait inscrire les rebelles Houthis du Yémen sur sa liste noire des groupes « terroristes », ce qui risque selon les organisations internationales d’aggraver la crise humanitaire.Houthis du Yémen sur sa liste noire des groupes Les rebelles Houthis au Yémen ont condamné lundi leur désignation comme groupe «terroriste» par l'administration américaine sortante de Donald Trump. Plusieurs organisations non gouvernementales et institutions internationales redoutaient que le président Trump, battu dans les urnes, ne cherche à frapper un grand coup diplomatique contre l’Iran, son ennemi juré au Moyen-Orient, avant l’arrivée à la Maison Blanche de Joe Biden, qui souhaite renouer le dialogue avec Téhéran. Le gouvernement yéménite et les rebelles houthis font un échange de 1.056 prisonniers (Croix-Rouge) ---Le gouvernement yéménite et les rebelles houthis ont achevé un échange de 1.056 prisonniers, a indiqué vendredi le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) au Yémen. Yémen et frontière saoudienne: Issue En cours. The Houthi movement (/ ˈ h uː θ i /; Arabic: ٱلْحُوثِيُّون ‎ al-Ḥūthīyūn [al.ħuː.θiː.juːn]), officially called Ansar Allah (ʾAnṣār Allāh أَنْصَار ٱللَّٰه "Supporters of God") and colloquially simply Houthis, is an Islamic political and armed movement that emerged from Sa'dah in northern Yemen in the 1990s. (…) Les déclarations de cet homme n’ont plus aucune signification », avait déclaré Sultan Al-Samee, vice-président du Conseil politique d’Ansarullah, le nom du mouvement des houthistes. Le ministère saoudien des affaires étrangères a aussi salué la décision américaine, qui va « dans le sens des appels du gouvernement yéménite légitime à mettre fin aux activités de cette milice soutenue par l’Iran », selon l’agence officielle SPA. Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Au Yémen, en dehors des cercles gouvernementaux qui qualifient de longue date les rebelles de « milices terroristes », cette décision américaine a été accueillie avec fatalisme. Des sanctions entreront en vigueur en pleine crise humanitaire, la veille de l’entrée en fonctions du A dix jours de la fin de son mandat, le gouvernement américain de Donald Trump a annoncé, dimanche 10 janvier dans la soirée, qu’il allait inscrire les rebelles houthistes du Yémen … Ce travail s’appuie sur les revenus complémentaires de la publicité et de l’abonnement. Après plus de cinq ans de guerre, le Yémen, pays le plus pauvre de la péninsule arabique où 80% de la population dépend désormais de l’aide internationale, est déjà en proie à ce que l’ONU a qualifié de pire crise humanitaire au monde. Avoir des contacts avec des responsables Houthis, gérer les impôts, utiliser le système bancaire, payer le personnel médical, acheter nourriture et pétrole… tout cela risque d’être entravé par une telle mesure américaine. Ces appels n’auront donc été que très partiellement entendus par l’administration Trump, décidée jusqu’au bout à aller à l’encontre du consensus international et à jouer la carte unilatérale. Le vaccin contre le Covid-19 va-t-il nous sauver rapidement de l’épidémie ? « S’il désigne Ansarullah comme terroriste, cela viendra d’une personne non compétente qui est en train de devenir complètement dingue », avait-il martelé. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents. Pourquoi la livraison des vaccins contre le Covid-19 est un immense défi logistique, Enquête vidéo : ce que les réseaux sociaux chinois révèlent des camps d’internement et du travail forcé des Ouïgours, Covid-19, paludisme, sida : l’immense bilan humain des pandémies actuelles, Sanjay Brahmawar : « Un rideau de fer numérique est en train de s’abattre sur le monde », Carrefour : le prétexte de la souveraineté alimentaire, Retour de Navalny en Russie : un défi à Poutine, une leçon pour l’Europe, George Smiley, le « mentor secret » de John le Carré, « Wara », sur TV5 Monde : une saga politique sur fond de mélodrame, « Tout le monde savait » : Claude Lévêque, une omerta au nom de l’art, Hervé Guibert, la résurrection d’un écrivain mi-ange mi-démon, S’aimer comme on se quitte : « On cohabite dans ses 15 m2, mais Pierre ne me touche plus ». Ce dernier restera connecté avec ce compte. "Nous prévoyons de mettre en place des mesures pour réduire leur impact sur certaines activités et importations humanitaires", a-t-il ajouté, Pour réagir à cet article, remplissez le champ ci-dessous. Publié le : 30/09/2019 - 14:57. Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. Ces sanctions entreront en vigueur le 19 janvier, soit la veille de l’entrée en fonctions du président élu des Etats-Unis, Joe Biden. Présentant la stratégie de son gouvernement comme devant favoriser les efforts pour parvenir à une solution « pacifique », le secrétaire d’Etat sortant a assuré être prêt « à travailler avec les responsables des Nations unies et avec les organisations internationales et non gouvernementales » pour minimiser les conséquences sur la population. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Lecture du Monde en cours sur un autre appareil. Trois chefs des Houthis sont également inscrits sur liste noire, dont leur principal dirigeant Abdel Malek al-Houthi. Publié le : 30/09/2019 - 14:57. Au Yémen, les rebelles houthis libèrent 290 prisonniers. Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Avoir des contacts avec des responsables houthistes, gérer les impôts, utiliser le système bancaire, payer le personnel médical, acheter nourriture et pétrole… tout cela risque d’être entravé par une telle mesure américaine. The … Les Houthis sont appuyés politiquement par l'Iran, ennemi des Etats-Unis et rival régional de l'Arabie saoudite. Non. Trois chefs houthistes sont également inscrits sur la liste noire, dont leur principal dirigeant Abdel Malek Al-Houthi. « Les Etats-Unis reconnaissent qu’il existe des inquiétudes quant à l’impact que ces désignations auront sur la situation humanitaire au Yémen », a dit Mike Pompeo. Une partie des députés yéménites a donné son aval à la création d'une conseil rebelle pour diriger le Yémen. Les houthis (arabe : الحوثيين), du nom de leurs dirigeants, Hussein Badreddine al-Houthi4,5 et ses frères6, sont les membres d'une organisation armée, politique et théologique zaïdite, active initialement dans le gouvernorat de Sa'dah et le nord-ouest du Yémen, puis à partir de 2014, dans tout le pays. Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Sur le pays plane la « menace imminente de la pire famine que le monde ait connue depuis des décennies », avait mis en garde, à la fin du mois de novembre, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres, exhortant Washington à « ne pas faire tanguer le bateau ». Réaction des rebelles Houthis. Au Yémen, les rebelles houthis libèrent 290 prisonniers. Rupture de l'alliance Houthi-Saleh et mort d'Ali Abdallah Saleh lors de … La décision des Etats-Unis pourrait « ajouter des obstacles à la réponse humanitaire et entraver les efforts visant à mettre fin au conflit », a déploré l’organisation dans un communiqué. Selon ces organisations, cette décision risque de provoquer une paralysie de l’acheminement de l’aide humanitaire au Yémen. Cette décision, destinée à renforcer la « dissuasion contre les activités néfastes du régime iranien », risque d’aggraver la crise humanitaire, selon les organisations internationales. Dans les restaurants clandestins : « Il fait gaffe quand même, y a toujours quelques poucaves », Xiaomi : « L’argument militaire cache la volonté américaine de casser la montée en puissance de la technologie chinoise », « Intel et l’Amérique se posent des questions de souveraineté », « Pour les démocrates, l’antagonisme sino-américain sera autant une bataille industrielle et commerciale qu’un affrontement politique ». Ryad, allié de Washington, intervient au Yémen depuis 2015 à la tête d'une coalition militaire en soutien au gouvernement. Lire les règles de modération de sudouest.fr. Des explosions ont fait au moins 26 morts et plus de 50 blessés mercredi à l'aéroport d'Aden, la capitale provisoire du Yémen en guerre où venait d'arriver le nouveau gouvernement d'union, dont un ministre a accusé les rebelles Houthis d'être derrière cette attaque. Fers de lance de la coalition arabe qui combattait les rebelles Houthis au Yémen depuis 2015, l’Arabie Saoudite et les Émirats Arabes Unis (EAU) sont aujourd’hui presque ouvertement en guerre, la coalition a volé en éclats et les séparatistes du Sud se sont emparés du palais présidentiel à Aden. Fondateur de la revue ­ « Politique américaine » et de la plate-forme d’échange économique Nexus ­Forum, PDG de l’éditeur de logiciels allemands Software AG, Publié le 11 janvier 2021 à 06h34 - Mis à jour le 11 janvier 2021 à 17h33, Paroles d’entrepreneurs, au cœur des territoires, a déclaré sur Twitter un responsable rebelle, Mohamed Ali Al-Houthi. Vous pouvez également, consulter notre. Alors que planait la menace, les houthistes avaient estimé en novembre que Donald Trump n’avait pas le droit de prendre une telle décision après avoir perdu l’élection présidentielle. Ainsi, le nom houthi est à l'origine le nom d'une tribu dont sont issus les membres de l'organisation7. Yémen. Dimanche, le chef de la diplomatie américaine Mike Pompeo a annoncé, à dix jours de la fin du mandat de Trump, que les Houthis seraient inscrits sur la liste des groupes "terroristes", ainsi que trois de leurs chefs, dont leur dirigeant Abdel Malek al-Houthi. Trois chefs des Houthis sont également inscrits sur liste noire, dont leur principal dirigeant Abdel Malek al-Houthi. « Les élections sont finies et quelqu’un d’autre a gagné. Et il est maintenant "en danger imminent de la pire famine que le monde ait connue depuis des décennies", avait mis en garde fin novembre le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, exhortant Washington à "ne pas faire tanguer le bateau". Des explosions ont fait au moins 26 morts et plus de 50 blessés mercredi à l'aéroport d'Aden, la capitale provisoire du Yémen en guerre où venait d'arriver le nouveau gouvernement d'union, dont un ministre a accusé les rebelles Houthis d'être derrière cette attaque. The Houthis, officially known as Ansar Allah, stormed Yemen’s capital, Sana’a, in 2014, prompting President Abd Rabbu Mansour Hadi to flee. Intervention d'une coalition sunnite contre les rebelles, en appui au président Hadi. Sanaa Rebelles du Yémen classés "terroristes": colère des Houthis, craintes des humanitaires Sanaa - Classés "groupe terroriste" par les Etats-Unis, les rebelles Houthis au Yémen … L’administration de Donald Trump a qualifié les rebelles Houthis au Yémen de "terroristes". Les organisations humanitaires actives au Yémen craignent que la décision du gouvernement américain de désigner les rebelles houthis comme un … Les rebelles, classés « terroristes », s’en prennent à l’administration Trump. 243 partages. Des milliers de soldats de la coalition arabo-saoudienne au Yémen auraient été capturés, parmi lesquels de nombreux officiers de l'armée saoudienne. Merci de nous décrire précisément ce qui vous paraît illégal dans ce message. 243 partages. "Les Etats-Unis reconnaissent qu’il existe des inquiétudes quant à l’impact que ces désignations auront sur la situation humanitaire au Yémen", a dit Mike Pompeo. L’annonce était attendue depuis l’élection présidentielle du 3 novembre aux Etats-Unis. Les rebelles Houthis au Yémen ont condamné lundi leur désignation comme groupe "terroriste" par l'administration américaine sortante du président Donald Trump et ont dit se réserver le droit d'y riposter. L’annonce était attendue depuis l’élection présidentielle du 3 novembre aux Etats-Unis. La portée des dérogations qui seront accordées, en ce sens, sera donc scrutée de près. DUBAI (Reuters) - Yemen's Houthi movement will not walk away from peace talks with the United Nations and Saudi Arabia despite the U.S. decision to designate the Iran-aligned group as … « La politique et les actions de l’administration Trump sont terroristes », et « le peuple yéménite n’a que faire de toute désignation de l’administration Trump du moment qu’elle est complice dans le meurtre de Yéménites ». Sanaa Rebelles du Yémen classés "terroristes": colère des Houthis, craintes des humanitaires Sanaa - Classés "groupe terroriste" par les Etats-Unis, les rebelles Houthis au Yémen … Les Houthis et leurs alliés contrôlent le nord du Yémen et y installent un Comité révolutionnaire. Elles visent à tenir les Houthis, qui contrôlent la capitale Sanaa et la majorité du nord du Yémen, "pour responsables de leurs actes terroristes, notamment pour les attaques transfrontalières menaçant les populations civiles, les infrastructures et le transport maritime", a déclaré Mike Pompeo dans un communiqué publié dans la nuit. Yemen's Iran-aligned Houthi movement has been battling a Saudi-led military coalition since 2015. Yémen. Le gouvernement américain de Donald Trump a annoncé dimanche soir, à dix jours de la fin de son mandat, qu’il allait inscrire les rebelles Houthis du Yémen sur sa liste noire des groupes "terroristes", ce qui risque selon les organisations internationales d’aggraver la crise humanitaire. US Secretary of State Mike Pompeo says Congress will be notified of his intent to designate the movement as a foreign terrorist organisation, in what would be one of the final acts of the outgoing Trump administration before Joe Biden's inauguration as president on January 20. Ces sanctions entreront en vigueur le 19 janvier, soit la veille de l’entrée en fonctions du président élu des Etats-Unis Joe Biden. Les rebelles Houthis au Yémen ont condamné lundi leur désignation comme groupe «terroriste» par l'administration américaine sortante de Donald Trump. Pour soutenir le travail de toute une rédaction, nous vous proposons de vous abonner. Lire aussi: Deux Américains prisonniers des rebelles Houthis ont été libérés au Yémen. Grippe aviaire dans les Landes : doit-on remettre en cause la biosécurité ? Lire aussi: Deux Américains prisonniers des rebelles Houthis ont été libérés au Yémen. Ces appels n’auront donc été que très partiellement entendus par l’administration Trump, décidée jusqu’au bout à aller à l’encontre du consensus international et à jouer la carte unilatérale. « Nous prévoyons de mettre en place des mesures pour réduire leur impact sur certaines activités et importations humanitaires », a-t-il ajouté.
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