Il a donc ÈtÈ dÈfini que les
substances utilisÈes en anesthÈsie pourraient Ítre source
d'hallucinations ý l'origine de l'expÈrience vÈcue lors des
NDE. Nous nous proposons donc de montrer si l'absorption de
produits anesthÈsiques dÈrivÈs morphiniques peut crÈer chez
des personnes pris au hasard ce type de visions.
Les personnes prÈsentes ý
l'expÈrience sont les suivantes :
- Cinq personnes volontaires
pour se faire injecter du penthotal. Nous avons choisi
nos volontaires selon 3 catÈgories diffÈrentes : un
enfant, deux personnes ignorant le but de l'expÈrience
c'est ý dire relation NDE/hallucinogËnes et deux autres
enfin ý qui on a longuement expliquÈ le pourquoi et le
comment de l'expÈrience avec tous ses dangers.
- Deux mÈdecins prÈsents,
anesthÈsistes rÈanimateurs et une infirmiËre. Un des
mÈdecins est notre complice (cf. explication plus tard).
- Les trois participants au
dossier pour filmer et relever les faits et gestes des
protagonistes.
- Notre professeur monsieur
Broch vÈrifiant la sincÈritÈ et le bon dÈroulement de
l'expÈrience.
Le lieu :
- Une salle d'opÈration
d'un centre ambulatoire.
Le protocole :
- Endormissement avec un
volatile au masque d'anesthÈsie des cinq tÈmoins.
- Injection du barbiturique.
- RÈveil au bout de 30
minutes.
- L'expÈrience est filmÈe
du dÈbut ý la fin.
Les "HYATUS"
- Malheureusement les
volontaires sont tous des hommes. Nous ne pourrons donc
pas faire de comparaison entre expÈrience vÈcue par
femmes et hommes.
- L'enfant et un des
anesthÈsistes, ainsi que monsieur Broch sont nos
complices.
L'expÈrience n'Ètant pas
applicable ý un enfant, nous avons eu l'idÈe de le
traiter au placebo afin qu'in puisse nous aider dans une
deuxiËme expÈrience traitÈe dans le B du chapitre
"ExpÈrience et interprÈtation".
Il devra ý son "faux
rÈveil" relater une NDE hors du commun afin
d'observer la rÈaction du mÈdecin, des autres
participants de l'expÈrience et des gens en gÈnÈral.
- Il y a eu catÈgorisation
volontaire des quatre autres tÈmoins afin de voir si le
contexte d'esprit dans lequel se trouve le patient peut
changer le rÈsultat de l'expÈrience.
Deux d'entre eux ont ÈtÈ
mis au courant de l'expÈrience sans plus d'explications,
c'est ý dire qu'on leur a expliquÈ que leur prÈsence
Ètait nÈcessaire pour montrer les Èventuels effets
hallucinogËnes des substances utilisÈes en anesthÈsie
sans leur parler des NDE.
Aux deux autres, on a
clairement spÈcifier que l'expÈrience se rattachait au
phÈnomËne de NDE, afin de prouver si oui ou non les
hallucinogËnes engendraient les visions relatÈes lors
de ces expÈriences. Enfin, ý l'un de ces deux
participants, nous avons insister plus longuement et plus
exagÈrÈment sur le danger d'une telle expÈrience et
l'avons volontairement laisser dans le doute sur les
dÈmarches suivies lors de l'expÈrience, en lui montrant
quelques photos et articles concernant les NDE
interprÈtation
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